Lundi soir, environ 300 extrémistes pro-palestiniens ont envahi les voies de la gare Cornavin, bloquant les trains, semant le chaos, et prenant en otage des centaines de citoyens. Ce n’était pas une manifestation : c’était une opération de nuisance, une offensive radicale orchestrée pour faire pression par la peur et la paralysie. Ces gens ne sont pas des militants, ce sont des terroristes militants.

Les Jeunes UDC Genève dénoncent avec la plus grande fermeté cette action violente, illégale, dangereuse et profondément antidémocratique. Ceux qui croient pouvoir imposer leur idéologie par la violence, en piétinant les lois, en paralysant un service public vital, et en méprisant les Genevois doivent être traités pour ce qu’ils sont : des radicaux, des destructeurs.

Nous en avons assez de cette complaisance permanente face à l’extrême gauche. Quand des groupuscules bloquent les routes, les gares ou les universités, ils le font avec arrogance et en toute impunité. Trop, c’est trop. Nos autorités doivent cesser de détourner le regard et agir. Le Conseil fédéral, quant à lui, a le devoir d’assurer que de tels actes soient sanctionnés avec une sévérité exemplaire.

Nous exigeons des poursuites pénales rapides, des interdictions de manifester et, si nécessaire, l’expulsion des ressortissants étrangers en situation irrégulière ou impliqués dans des infractions graves contre l’ordre public. Ces extrémistes ne représentent personne d’autre qu’eux-mêmes. Ils ne parlent pas au nom de la paix, mais de la haine. Ils ne cherchent pas la justice, mais la provocation.

Pendant qu’ils bloquaient la gare, des pères de famille manquaient le dîner avec leurs enfants, des employés perdaient des heures de salaire, des personnes âgées restaient bloquées dans les wagons. Selon les CFF, plus de 20 trains ont été annulés ou retardés, affectant plusieurs milliers de passagers. Une usagère déclarait au micro de Léman Bleu : « J’ai mis deux heures de plus pour rentrer, je n’ai pas pu aller chercher mes enfants à l’heure. C’est inacceptable. ». Ces victimes silencieuses ne font pas la une des journaux, mais ce sont elles que nous défendons.

Genève, ville de paix et de diplomatie, a été rabaissée hier au rang d’un terrain d’action pour gauchistes fanatisés. Une ville sans autorité, où l’on peut tout bloquer sans conséquence, devient une ville faible, vulnérable, et risible sur la scène internationale.

La Suisse est un pays neutre, respecté parce qu’il reste à l’écart des conflits étrangers. Ceux qui importent la guerre israélo-palestinienne sur notre sol violent ce principe fondamental. Nous ne devons pas seulement le rappeler. Nous devons le défendre.

Les Jeunes UDC Genève appellent à des mesures fortes, à une justice sans ménagement. Si les autorités ne sont pas capables de faire respecter l’ordre public, c’est la démocratie elle-même qui est en danger.

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Jason Détraz, président Jeunes UDC Genève : 079 725 77 01

Sébastien Johner, vice-président Jeunes UDC Genève, 079 961 05 57